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L020-0603.74-1 - Procès d'Aliester Lancaster
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Fantôme
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Date d'inscription : 16/11/2017
MessageSujet: L020-0603.74-1 - Procès d'Aliester Lancaster L020-0603.74-1 - Procès d'Aliester Lancaster EmptyMer 24 Jan - 0:32
C’est avec une joie sans pareille que je me vois à nouveau membre d’une cour de Justice, en tant greffier, les autorités d’Hellsing ayant probablement jugé que mon sens de l’équité et ma neutralité parfaite étaient les parfaits garant d’un rapport crédible, peu importe la vermine rampante qui se trouvera au banc des accusés.

Nous sommes le 6 mars 1974, et ce procès fait suite à celui de l’immondice purulente aussi connue sous le nom de Lucie « Lance » Pressler. Cette créature infernale aurait, selon les rapport des témoins, égorgé avec la sauvagerie qui qualifie ceux de sa race un jeune enfant innocent. Elle a depuis été rendue coupable et incarcérée pour une poignée d’année, une sentence bien trop douce si l’on en croit les gens de bon goût. L’accusé de ce soir, Aliester Lancaster est un des rares humains de la fondation, un britannique de noble naissance et de cœur vaillant qui, toujours selon les rapports, aurait tenté avec trop de zèle d’apporter sa propre justice. Un crime somme toute complètement pardonnable et négligeable, et toujours selon les rapports… il serait démoniste.

Mes amis, mon vieux cœur trembla. Comment qualifier cet acte noble, détruire le Mal, lorsqu’il est accompli par une créature qui n’est objectivement pas meilleure. Est ce que le Bien peut parfois être fait par le Mal ? Doit-on pardonner à la créature abjecte le crime fatal lié à son existence même, si son action vise à purifier le monde d’une ombre de la nuit ?

Cette vermine, disais-je donc, ce déchet abject de l’humanité a osé bravé nos lois humaine en désobéissant aux autres qui, encore une fois selon les rapports, lui auraient intimés de laissé la Chose en vie le temps de son procès. Comme le suggère son physique lâche et exigu, il semblerai que ce Lancaster ait été maîtrisé, permettant de le juger pour son incorrection coupable envers ses co-équipiers. Ainsi que pour la tentative de meurtre contre la Pressler, mais seulement si le temps ne vient pas à manquer.

Dès le début du procès, on pu remarquer une certaines tension dans la salle. Le silence était pesant, et aussi bien le jury que l’accusait que le démoniste visqueux semblaient avoir tout autre chose à faire. Un dicton dit souvent que l’accusé qui se prend pour avocat a un client stupide. Lancaster décida donc d’assurer sa propre défense et de plaider coupable. Il entama sa défense par plaider coupable et enchaîna sur une copieuse bordée d’insulte à l’intention du Jury pour sa clémence envers l’Immondice Pressler (la cousine, pas le nouveau, même si celui-ci n’est qu’un vil pleutre). Insulte qui, au sein de ma cour, lui aurait valu trois ans de bagne, mais il semblait que le Jury n’en prenait pas ombrage.

Il était constitué du père de l’enfant égorgé, qui par la sainte grâce angélique de Flora était à présent vivant et bien portant, par la petite sœur d’Abel Van Hellsing, une **fqfqsd*fsdfqsd*fs*fQ (traces de sang) femme mature et tout à fait charmante, n’est-ce pas, Juge? (écriture différente, puis d’autres traces de sang)
Et enfin, donc, par Edward Dellinger, le plus ancien agent encore actif de la fondation, qui devant la détermination étonnamment louable du démoniste à réclamer son exécution publique pleinement méritée pour crime de démonologie d’insubordination, décida d’assurer la défense du Lancaster.

Il tenta de démontrer que celui-ci, dans le fond, voulait qu’on le stoppe, dans le plus profond du plus profond de son cœur noir et dégouttant, ce à quoi le lâche démoniste acquiesça à moitié. Puis, il rappela l’horreur du crime commis par Lucie Pressler, que personne ne niait. Puis vint le témoignage du père de la victime… Mais à ce moment là du procès, je l’avoue, l’ennui provoqué par la défense inconvenante d’Edward Dellinger me provoqua une courte phase de sommeil qui se termina au son des nouvelles insultes que Lancaster lança contre le Jury.

Clairement, il allait subit le châtiment qu’il méritait. Le Jury se retira, et le démoniste attendit dans le silence leur retour, qui se fit rapidement.
A ma grande surprise, un avertissement, 4 jours de détention et 3 mois de sursis furent tout ce que récolta l’infâme créature malgré les insultes qu’il avaient proféré. La magie du diable avait sûrement encore frappé. Je vis le jeune Winstram avoir les larmes aux yeux lui monter au yeux, probablement de soulagement de voir celui qui était probablement son ami s’en tirer à si bon compte. La surprise était tangible dans l’assistance, mais le reste de ce récit ne me revient pas.


Le Juge
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